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Comment savoir si j’ai un (vrai) don de voyance ?

Publié le Voyance

La voyance est un don qu’il est difficile de réprimer. C’est comme essayer de maintenir un ballon sous l’eau. Tant que l’on exerce une pression sur lui, on parvient à le maintenir immergé mais dès que la vigilance se relâche, il remonte à la surface et jaillit hors de l’eau. Ainsi des manifestations parapsychologiques, qui peuvent être contrôlées quand je sujet psi est au mieux de ses capacités, mais qui fusent de toutes parts dès qu’il baisse la garde, connaît une période de crise et ne peut plus refouler son don.

Vous vous demandez peut-être ainsi, confronté à des situations étranges : ai-je un don de voyance ? Comment en être sûr ? Comment identifier si ce qui défie la raison est le signe d’une capacité médiumnique ? Voici la réponse à ces questions.

Les 7 signes qui suggèrent que vous avez un don pour la voyance

  1. Les rêves sont assurément la porte d’entrée la plus fréquente aux manifestations du don de voyance. La journée, un surmoi fort peut parvenir à réprimer les indices courants de la médiumnité, mais la nuit, et surtout pendant le sommeil, l’instance qui contrôle la raison perd du terrain au profit d’une forme plus primitive, douée d’une forte capacité de prescience. Le rêve prémonitoire est donc un signe fort. C’est bien sûr la fréquence et la précision de la prémonition qui va déterminer la puissance de votre don. Plus ils sont fréquents et détaillés plus vous avez de chance d’être voyant.
  2. La célèbre sensation de déjà-vu, lorsqu’elle survient dans des situations dont vous êtes certain que vous ne les avez jamais vécues auparavant (c’est la condition sine qua non), mais qui vous semblent paradoxalement incroyablement familières, est un autre signe fréquent d’une prédisposition pour la voyance.
  3. Les pressentiments inexplicables sont un autre symptôme fréquent : vous suivez une routine quotidienne imperturbable jusqu’au jour où vous l’interrompez, soudain habité par un mauvais pressentiment. Et cet écart vous évite un incident fâcheux, voire un accident. Cette faculté est plus répandue dans la population qu’on ne le croit. Une expérience scientifique qui prouve la réalité du don de voyance a d’ailleurs été menée en ce sens !
  4. L’intuition psychologique : une personne vous expose une situation qui lui semble inextricable, avec une grande complexité émotionnelle pour elle, tandis qu’elle vous semble si limpide que vous la conduisez jusqu’au dénouement avec aisance. C’est cette particularité qui fait des voyants d’excellents coachs intuitifs.
  5. L’hérédité est aussi un signal fort ! Lorsqu’il y a déjà eu des voyants dans la famille, des sourciers, des guérisseurs, il y a de fortes chances pour que le don se transmette et passe d’une génération à l’autre.
  6. Le degré de connexion avec un autre individu est aussi un signe qui atteste d’une faculté à communiquer avec l’autre au-delà des sens. Cela peut se produire avec un ami proche, un parent ou un partenaire de vie. Vous pensez à lui et tout à coup il vous appelle, ou l’inverse : il pensait à vous et vous avez eu l’idée de l’appeler.
  7. La capacité à retrouver les objets que les autres ont perdu est une preuve de plus. Dans un contexte émotionnel fort, on vous raconte une histoire de bijou égaré, et vous répondez, sans savoir pourquoi : « Tu as pensé à regarder dans tel ou tel endroit ? ». Et l’objet s’y trouve, contre toute attente. Ou bien, vous êtes déjà tombé (par hasard pensiez-vous !) sur un vestige archéologique, un petit objet ancien, perdu au milieu de nulle part, et vers lequel vous vous êtes dirigé, comme aimanté.

Comment vérifier si je suis un(e) voyant(e) ? Trois tests faciles à réaliser

Voici trois tests qui vont vous permettre d’évaluer vos capacités pour la prescience et vous permettre de vérifier votre capacité divinatoire.

Evaluez votre compétence pour les prémonitions

Le propre du voyant est de prédire l’avenir, non ? Alors commencez par vérifier si ce que vous voyez se produit. Il n’y a pas de meilleure preuve pour savoir si l’on a vraiment un don.

On évoquait précédemment le rêve prémonitoire comme signal fort et la preuve indubitable d’une capacité de prescience. Encore faut-il que la chose se produise plusieurs fois (pour éviter un coup de chance).

La plupart des gens n’ont aucun souvenir de leurs rêves. Ils dorment, rêvent, et au moment du réveil tout est effacé. La première chose pour tester votre don est de parvenir à se souvenir de vos rêves. C’est déjà un énorme travail. Il faut mettre en place des routines, comme avoir un carnet et un stylo sur sa table de chevet au cas où on se réveille en pleine nuit. Repensez à toutes les fois où un rêve (pas nécessairement un cauchemar !) vous a tiré de votre sommeil et où le lendemain il ne restait plus qu’une sensation étrange… tandis que le rêve s’était envolé.

Il faut également se reconditionner, casser la routine et remettre de la conscience au moment de l’endormissement. Créer un rituel et apprendre à garder le contenu des rêves : se coucher en pensant très fort à l’importance de la mémorisation du rêve, faire un travail de restitution tous les jours au moment du réveil, et… une fois que les rêves sont notés, vérifier si les prémonitions adviennent. Les noter et être à l’écoute des événements. Est-ce que ceux-ci, à court, moyen ou long terme démentent ou donnent raison à vos rêves ?

C’est un excellent test pour savoir si vous avez le don de prescience, bref, si vous êtes un(e) voyant(e).

Soyez attentif au sentiment de déjà-vu

Second test significatif, la situation de déjà-vu.

Tout d’abord, il faut identifier la sensation de déjà-vu et la reconnaître pour ce qu’elle est. Le déjà-vu, c’est un peu plus que seulement avoir déjà vécu la scène qui se déroule sous vos yeux. L’impression de familiarité dépasse la simple réminiscence, elle peut englober des émotions plus intimes, une familiarité, une sensation d’avoir été le témoin d’une scène ou d’y avoir pris part.

Lorsque vous vous trouvez dans une situation nouvelle et que vous sentez le sentiment de déjà-vu surgir en vous, essayez de compléter la scène qui se déroule sous vos yeux avant qu’elle ne se soit accomplie.

Que se passe-t-il ? Avez-vous pu prédire ce qui allait se passer ? Auquel cas, vous avez fait l’expérience du don de voyance.

Avez-vous été envahi par des émotions fortes (joie, mélancolie, colère) qui se sont emparées de vous au moment où vous constatiez simultanément, n’avoir jamais été en ce lieu, et en ressentir le souvenir ? Auquel cas, vous avez pu faire l’expérience du médium.

Cherchez le voyant parmi vos ancêtres

Là encore, c’est un test extrêmement probant. On a vu que le don était souvent héréditaire : faire sa généalogie permet d’identifier des voyants ou des médiums parfois inconnus ! En effet, il est possible que le don se perde, saute une génération, ou qu’une personne décide délibérément de rompre avec sa famille, et cesse de transmettre un secret de famille parfois lourd à porter.

Pourtant, il est primordial vérifier la présence d’un guérisseur, d’un sourcier, d’un magnétiseur ou d’un médium parmi vos ancêtres. C’est la quête des origines : demandez à vos parents, grands-parents. Lancez-vous dans la généalogie, et vous découvrirez peut-être qu’il y a un voyant dans votre arbre généalogique.

Si c’est le cas, vous avez de fortes chances d’avoir hérité de son don et d’en être un vous-même. Essayez alors de déterminer quelle était sa spécialité, sa particularité. Si vous parvenez à le savoir, vous pourriez essayer de marcher dans ses traces. Revenez sur les lieux où il a vécu, et, s’il reste des objets qui lui ont appartenu dans la famille, essayez de les toucher.

Avec ces 7 signes et ces 3 tests, vous devriez enfin être à même de savoir si vous avez un don pour la voyance.