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Le calcul de Cox : le don de voyance enfin démontré ?

Publié le Voyance

La précognition

Science et voyance semblent opposées, depuis l’origine. On deviendrait scientifique et rationnel lorsqu’on refuse l’idée que l’on peut prédire l’avenir. Pourtant, l’ingénieur américain William Edward Cox organisa en 1956 une expérience qui vient remettre en cause cette idée reçue…

Si l’on devait résumer le problème que soulève la voyance, il se résumerait à la question suivante : une précognition est-elle possible ? En d’autres termes, peut-on savoir ce qu’il va se passer dans un futur proche ou lointain par une sorte d’intuition, sans calcul d’aucune sorte ?

C’est ce que nie une certaine approche de la science. Le futur ne peut être déterminé que par le calcul, probabiliste et statistique, et l’observation de l’enchaînement des causes et des effets.

Le scientisme balaie d’un revers de main les contre-exemples que l’on peut observer, depuis la nuit des temps : ces prédictions, émises par des augures devins, voyants, mediums, qui se sont avérées justes.

L’argument étant : aucune expérience scientifique digne de ce nom, observant une méthodologie correspondant aux normes en vigueur, n’a été organisée, pour vérifier les prédictions d’un voyant. Autrement dit : pour vérifier qu’une précognition est possible.

Tel est précisément le défi que s’est lancé William Cox. Cet ingénieur américain a décidé de se placer sur le terrain de la science, en organisant une expérience de ce type…

L’expérience

L’idée de départ est ingénieuse : si dans une population donnée, certaines personnes ont, sans même le savoir, une faculté de précognition, un don de voyance, alors elles vont éviter de prendre un train qui va avoir un accident (déraillement, collision, etc.).

Or cela est tout à fait mesurable : on dispose pour ce faire des données accumulées, depuis des années, par les compagnies ferroviaires. A savoir les chiffres de fréquentation de chaque ligne, correspondant aux trajets quotidiens des voyageurs.

La question devient : observe-t-on une baisse du trafic dans les trains qui vont avoir un accident ? Si c’était le cas, alors serait enfin démontrée qu’une part notable de la population a un don de voyance, une précognition, une prescience des événements qui vont se produire.

Voici le patient travail dans lequel se lance William Cox : récupérer et analyser les données. 

Les résultats

William Cox expose les résultats de son étude dans le 50ème numéro du Journal de la Société américaine pour la recherche psychique. Il a donc comparé les chiffres de fréquentation des trains le jour d’un accident, 6 jours avant, 14 jours avant et 28 jours avant. Et le résultat est sans appel : on observe une diminution significative du nombre de voyageurs le jour d’un accident.

Aucun biais n’a pu être mis en évidence, qui viendrait remettre en question ces conclusions. Un résultat troublant, qui déconcerte les scientifiques les plus sceptiques…

Cette étude de Cox a d’ailleurs été peu commentée dans les cercles scientifiques, comme si elle dérangeait… Et de fait, elle remet en cause la séparation canonique entre rationnel et irrationnel, voyance et science !

De grands scientifiques se sont d’ailleurs intéressés à l’univers du paranormal, ainsi qu’en témoigne l’exemple de Thomas Edison et du nécrophone qu’il a mis au point.

Conclusion

On le voit : certains d’entre nous ont bel et bien une faculté de précognition. Les voyants ont développé cette faculté, de manière à pouvoir prédire précisément des événements qui vont survenir.

Ceux qui travaillent au sein de notre cabinet le démontrent chaque jour. Nous vous invitons à les contacter pour le vérifier par vous-même, et bénéficier ainsi de ces précieuses ouvertures sur l’avenir !

Ils sauront vous apporter une oreille attentive et vous éclairer dans vos choix de vie.