Dr. Jean-Jacques Charbonier
La Conscience intuitive extraneuronale
Un concept révolutionnaire sur l’après-vie enfin reconnu par la médecine
Publié le Livres sur la voyance
Le sujet du livre
L’ouvrage du Dr Jean-Jacques Charbonier s’ouvre sur cette annonce : celle de l’officialisation, il y a une poignée d’années à peine, et par une institution médicale prestigieuse, d’une théorie scientifique passée inaperçue mais susceptible de révolutionner notre approche du vivant. En effet, en 2014, à l’occasion de la soutenance de thèse de François Lallier devant la faculté de médecine de Reims, fut formulée la théorie d’une « conscience » humaine qui ne serait plus attachée à un organe, en l’occurrence le cerveau, mais évoluerait indépendamment de lui.
Une révolution scientifique
Hors des neurones donc, la conscience. Ou pour lui substituer des mots que la science récuse : « l’âme », ou bien « l’esprit ». Cette thèse de médecine, reçue avec les plus hautes distinctions par le jury, le Dr Charbonier en rend compte et en développe les aspects les plus captivants, assortis de compte-rendus d’expériences, de récits de vie et de témoignages passionnants.
Des révolutions médicales, qui ouvrent sur une nouvelle façon d’appréhender l’Homme et l’univers, il y en a eu d’autres auparavant. Que l’on songe ainsi seulement que ce n’est qu’en 1628 que le médecin William Harvey découvre la circulation sanguine, et… que le cœur n’est qu’une pompe. Jusque-là, et pendant plus de quatorze siècles, on a cru que c’était le foie qui assurait la fabrication du sang. Dès lors, avec Harvey le cœur de l’homme devient une simple machine dans la machine. Foudres de l’Église et même de l’institution médicale. Aujourd’hui cette découverte ne fait plus aucun doute.
Or, celle dont il est question dans le livre La conscience intuitive extraneuronale, c’est de la preuve d’une conscience en dehors de la matière. Ni plus ni moins. Et avec elle, celle d’une après-vie, d’un au-delà donc.
Les preuves d’une capacité médiumnique
Le Dr Charbonier est anesthésiste réanimateur. Il fait ainsi appel à des médiums durant des interventions sur des patients anesthésiés et subissant une intervention chirurgicale, certains dans un état critique, et recueille ensuite les témoignages des médiums présents sur les lieux. Les résultats sont saisissants. Les informations recueillies stupéfiantes. Il y a dans ce livre de quoi ébranler le plus cartésien des lecteurs.
Ce faisant, et explore leurs aptitudes particulières mais aussi leur rapport au monde, à la perception, leur capacité à déjouer le piège du sens commun.
Non plus une conscience, mais deux
Ce qui s’est produit en 2014, c’est bien une révolution de ce type : le cerveau n’est plus considéré comme le siège étroit de la « conscience », sinon uniquement celui de la Conscience Analytique Cérébrale (CAC).
Car ce sont bien deux consciences que le Dr Jean-Jacques Charbonier oppose : celle, dévolue à la perception et au traitement de l’information perçue par les cinq sens, analytique, interprétative, cette conscience que l’on utilise tous les jours et qui mémorise, apprend, compare ; et l’autre, celle que décrit l’auteur du livre et à laquelle il donne le nom La conscience intuitive extraneuronale.
D’un côté donc, la Conscience Analytique Cérébrale qui va prendre en charge la perception rationnelle du réel, et se charger d’effacer ou d’ignorer tout ce qui contrevient à ce modèle, surtout dans la culture occidentale et son matérialisme forcené.
De l’autre, la conscience intuitive, capable de percevoir l’autre monde, capable de télépathie, de communication avec les défunts. Et c’est cette dernière qu’il explore d’une façon nouvelle et originale.
La conscience intuitive extraneuronale
Intuitive, cette conscience l’est précisément parce qu’elle n’est pas analytique. Elle est même à l’opposé de la conscience analytique, laquelle agirait comme un censeur, bloquant toute perception qui ne cadre pas avec les expériences de pensées issues des perceptions sensorielles habituelles. A la différence de la conscience analytique, la conscience intuitive agit comme un filtre « rationnel ».
Extraneuronale, elle l’est aussi. En effet, c’est lors d’accidents cardio-vasculaires, au moment de la l’arrêt (constaté scientifiquement) de l’activité du cerveau, que des individus sans lien entre les uns et les autres ont rapporté avoir eu une perception aiguë de leur environnement immédiat. Beaucoup même ont décrit avec une précision confondante la scène de leur réanimation vue en surplomb, les soins qui leur ont été prodigués, les conversations tenues pendant qu’ils avaient approché la mort.
Par ailleurs, de telles expériences ont aussi été rapportées par des personnes en état de conscience modifiée, par la pratique de la méditation par exemple.
Il est à noter qu’ont été écartés de cette étude scientifique les pathologies psychiatriques ou les éléments qui auraient pu conduire à une altération chimique de la conscience. Le fait intéressant est que le nombre de témoignage de telles expériences s’amenuise même chez ceux qui reçoivent un traitement antidépresseur.
Cette découverte et sa validation par la médecine moderne ont des conséquences : la théorie matérialiste du cerveau comme unique « sécréteur de conscience » est la première à être mise à mal. Car si lorsque le cerveau ne fonctionne plus il y a encore de la conscience, et que cette conscience perçoit des éléments concrets, si elle voit ou perçoit également des individus chers et disparus, si elle entre en lien avec eux, alors, où se situe la conscience ? Qu’est-ce qui pense en dehors du cerveau ?
Les Expériences de Mort Provisoire
Plutôt que de nommer « Expérience de Mort Imminente » (EMI), l’expérience que font certains individus au moment où un accident de la vie les rapproche de la mort clinique , le Dr Jean-Jacques Charbonier préfère utiliser l’expression « Expérience de Mort Provisoire » (EMP).
Il entend par là en effet proposer une expression susceptible de mieux rendre compte de la réalité. D’après la théorie qu’il développe, les individus qui font une telle expérience sont, du point de vue clinique, objectivement mort. Leur retour à la conscience analytique est en réalité un retour à la vie. Ils ont vécu une mort à proprement parler provisoire.
L’ouvrage du Dr Charnonier fait la part belle aux récits de ces expériences, car c’est à partir d’elles que s’échafaude la théorie de la conscience pensée en dehors de la matière.
Mais si la conscience est extraneuronale, si elle s’opère en dehors du corps, où a-t-elle lieu ? Est-ce à dire que l’esprit survit à la mort physique ? Ou l’âme va-t-elle ? Lisez La conscience intuitive extraneuronale pour connaître les propositions de cette nouvelle théorie de l’esprit humain.